Après le raz de marée électoral voici venu le temps du big-bang territorial.
Fusions des régions et des intercommunalités, disparition des départements, autant de réformes qui, si elles sont menées à terme, impacteront fortement l’organisation administrative et la vie des agents de ces institutions.
Au grand mercato post électoral devrait bientôt venir s’ajouter les migrations des cadres privés de territoire. A ce jeu de chamboule- tout, les CCAS/CIAS et leurs cadres ne pourront pas rester étrangers.
A nouveau il faudra se poser la question qui tant de fois a déjà fait débat : Quel territoire pertinent pour une action sociale efficace ? Ici, depuis fort longtemps, nous plaidons pour l’échelon intercommunal à l’échelle du bassin de vie et pour l’outil CIAS comme garant des droits fondamentaux des usagers.
Cette position nous devons nous préparer à la défendre.