Avec la suppression de l’obligation, pour les villes de moins de 1 500 habitants, d’avoir un centre communal d’action sociale, le président de l’ANCCAS craint une “atteinte aux intérêts des usagers les plus fragiles”.
Cette fois c’est fait. Ce que le sénateur Doligé et d’autres avant lui n’avaient pas obtenu, la loi NOTRe l’a réalisé dans la quasi indifférence générale. C’en est fini de l’universalité des centres communaux d’action sociale (CCAS) avec leur disparition programmée dans les communes de moins de 1 500 habitants. Il faut dire que cette mesure ne devrait pas être bien compliquée à mettre en œuvre. Pour la plupart ce ne sont que coquilles vides et beaucoup n’ont aucune existence réelle. Alors pourquoi l’UNCCAS et l’ANCCAS se sont-ils opposés jusqu’au bout à cette disparition ?…
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